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Atelier de Dole :

Le royaume d'Anthony

 

Dans le royaume du grand manteau blanc

Le petit lion venant marcher près du lac se trouva fort dépourvu quand le vent se jeta dans le sac. Dès lors, il courut près de petit éléphant et dit : si maman pense à nous aimer, le petit éléphant et moi nous irons marcher ensemble. Puis, papa le grand mammouth condor, nommé quand il était petit Mustapha, parla aux éléphants, se mit à rigoler et dit : Moi, Mustapha, dit-il, je suis près à vous soulever et grogna. Il se mit à réfléchir, à se gratter la tête, pensa et extirpa une bribe de ses pensées. Il entendit quelque chose et parla à ses disciples. Un jour, j'ai vu un grand Phœnix. Il était immense avec une grande envergure. Il portait sur son dos un gentil sourire et un chewing gum à la fraise que maman mangeait. Un singe Mingadou dit un message et l'oiseau se posa à côté de lui et proclama : si grand Phœnix condor se rend vers le Grand manteau blanc, il trouveront le grand gravier blanc. Alors Phœnix, dans sa majestueuse taille avec ses grandes ailes passa et réfléchit du haut de sa montagne perchée en élévation près des cîmes. Il découvrit en regardant avec sa longue vue des énormes maisons faites en chocolat, bordées de crêpes au sucre avec des labyrinthes cuisinés avec des choux fleurs mélangés à du sel. Dans leurs hottes, ils transportaient des jouets de Noêl, des cadeaux secrets et des friandises sucrées et aromatisées. Il y avait même des sapins féeriques, des lumières et plein d'étoiles dans le ciel. Les nuages étaient des morceaux de glace à la vanille et des volcans explosaient de chocolat. Les hommes d'ici étaient des hommes bienheureux, gentils et tendres. Ils dessinaient avec des cornes de petits béliers. Sur leurs visages, ils portaient de petites barbiches noires, jaunes et marrons. Ils étaient vêtus d'habits neufs : leurs bonnets ressemblaient à des fraises rouges, leur pantalon était fait en soie bleue et vertes et ils se chaussaient avec de longues et grosses savates de clown. Dès ce moment, la souris trouva des hommes de petites tailles beaux comme des sous neufs. Ils sont roses avec des yeux bleus comme de petit dieux, dit cette petite souris. Elle les décrivait tout en beauté, elle les aimait beaucoup. Qu'ils sont attendrissants ! dit cette petite souris. Elle aurait voulu les prendre en photo.
Grand Mustapha, l'homme du grand sorcier, apparut d'une façon magique et les interpella. : Allez ici, vous trouverez car c'est votre devoir de vous y rendre en volant dans les airs, aller dans les grandes étendues d'eau de jouvence et des lacs en lavande. Vous verrez et vous rechercherez la coupe de feu mystérieuse cachée dans un gouffre mystique.
Alors où est-elle ? dit la petite souris, se posant quelques questions. Mais le Singe Sage dut repartir car son temps était compté.
Dans la nuit, ils partirent en voyage. Le grand Phœnix ailé, fait de plumes blanches, s'envola dans le royaume du Grand manteau blanc. Il faisait très froid dans le ciel des mystères antiques. Ils traversèrent des montagnes enneigées, des tempêtes immensément violentes. Ils affrontèrent des oiseaux migrateurs et durent combattre les intempéries et ils arrivèrent à destination finale.
Les elfes, eux, travaillaient dans leurs maisons, mangeaient du chocolat. Ils avaient préparé tout sur une table pour le quatre heures. Des pots de Niella, il y en avait à profusion, des gâteaux, des brownies au miel, des pailles d'or à la framboise, des nuts à la noisette délicieuse et des twix croquant et des kinder délices à la noix de coco. Dans de grands champs, ils récoltaient des céréales nature pour faire du pain et des biscottes. Dans ce lieu près de la ferme, le moulin et les tracteurs faisaient un boucan ténébreux. Les elfes broyaient les céréales au moulin. Ils élevaient les cochons, les vaches, les bœufs, les poules, les agneaux, les moutons et les brebis, tous les animaux qu'ils aimaient et qu'ils vénéraient. En effet, leurs grands chevaux galopants avaient de grands enclos remplis de verdure et là ils pouvaient vaquer à toutes occupations, tous les hommes- chevaux et mamans-chevaux broutaient paisaient l'herbe et couraient à de grandes enjambées et il arrivait d'avoir quelquefois des bébés poulains? Bien sûr les elfes étaient trop petits pour monter sur eux mais il y avait un géant grognon mais d'un super bon fond et qui mangeait beaucoup de cochons et de cornichons. Il marchait tous les jours dans les maisons et venait poser les petites lutines et les elfes sur les chevaux afin de les harnacher. L'ogre était très gentil, super fort mais doux comme un agneau. Le roi des enfers fumait de bonnes gauloises. Cet homme était un grand sorcier et il fumait des oreilles. Il habitait dans une grande chaumière avec une cheminée surchauffée et dans l'âtre du marmiton, il faisait cuire de la bonne soupe aux choux avec des lardons. Il préparait sur la table des choux de Bruxelles tous cuits à la vapeur et coupait des morceaux de poisson d'ablettes qu'il mélangeait avec ceci et, ajoutant une pincée poivrée et du jambon salé, il recouvrait son jambon de moutarde Amora qu'il séléctionnait pour faire sa grande fête de fin d'année par an. Il y invitait son fils, ses filles et toute sa famille. Dans son âtre, avec la marmite, il y avait un feu rocambolesque, les bûches étaient coupées au coin de la cheminée et toutes les heures, il remettait un peu de bois afin de réchauffer toute la cuisine et son salon.
Le bon grincheux nommé Lucifer fumait sa bonne cigarette. Il préparait un peu de tabac Gauloise à rouler qu'il posait sur sa table, bien sûr il la roulait en poussant sa feuille avec ses doigts afin d'enrouler la bonne cigarette et de plus, il aimait beaucoup travailler et ce qu'il préférait le plus c'était couper du bois. Il avait un grenier tout obscur avec des ustensiles divers. IL s'y trouvait des stylos, des jouets, des bocaux remplis de prunes, fraises framboises. Il de là, il les rangeait en petite quantité qu'il affinait, ça sentait bon le jus de sirop. Et bien sûr, à côté de son coffre à nourriture, une cave remplie de toutes sortes de fromages. A cinq heures du matin, sa femme était déjà ardue à ce travail, elle trayait les brebis, les vaches et les chèvres. Elle laissait ce lait dans des boites pour le déguster le matin et gardait le reste dans le grenier pour faire du roquefort, du camembert et du comté. Ainsi le bon Lucifer s'occupait toujours en restant chez lui. La nuit qu'il faisait très froid, que le blizzard soufflait en bourrasque, le gentil grognon écoutait toujours le temps qui passait.

 

Le printemps de beauté

La fleur du printemps est aussi belle que l'arbre d'automne rosée d'amour. Car l'été indien arrive de cette douce pensée quand elle est esprit de beauté enjolivée.
De là, le bouleau automnier est beau comme l'ange de la férée, par la lance de son pétale quand la Sainte Rose ouverte et éclose, prenante quand elle sourit à l'éclatée de son sourire gracieux.
La belle Lysanthia est une grande divinité quand elle est de la brume automnale de l'esprit, douce d'amour, puissante comme l'écorce du bouleau de la boisée.